LA FRENCH TECH
Qu’est-ce que c’est ?
La « French Tech », créée fin 2013, désigne tous ceux qui travaillent dans ou pour les start-up françaises en France ou à l’étranger. Les entrepreneurs en premier lieu, mais aussi les investisseurs, ingénieurs, designers, développeurs, grands groupes, associations, medias, opérateurs publics, instituts de recherche… qui s’engagent pour la croissance des start-up françaises d’une part et leur rayonnement international d’autre part.
Où est-elle présente ?
La French Tech est présente un peu partout en France, dans 13 villes différentes mais aussi un peu partout dans le monde (32 hubs ou communautés)
Des outils sont mis à la disposition des startups et entrepreneurs en France :
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- Les Bourses French Tech pour les entreprises en création, avec un financemement d’amorçage de 30 000 euros opéré par Bpifrance.
- Les fonds Fench Tech de 200 millions d’euros pour les entreprises au stade
de l’accélération - Le Pass Fench Tech pour les startups en hyper-croissance, offre premium d’accompagnement au développement pour les entreprises soumises aux enjeux de vitesse d’exécution et d’internationalisation.
Concrètement, comment la French Tech accompagne les projets des startups ?
En proposant un service de structures pour accompagner les entreprises à tous les stades de développement, en facilitant l’accès aux marchés et le vdéveloppement à l’international, notamment grâce à des partenariats avec Londres, Québec, Bruxelles ou l’Afrique (avec le programme des « French Tech championnes » à l’international.
Elle met aussi en réseau les acteurs de l’écosystème numérique.
Mais elle soutient aussi les initiatives privées d’accélérateurs pour dynamiser l’écosystème territorial et rapproche les startups des grands groupes et des collectivités.
Qu’en est-il de Bordeaux ?
Peu de temps après la création de la French Tech annoncée par la ministre Fleur Pellerin, Bordeaux a fait partie des neuf premières métropoles labellisées « French Tech » par le gouvernement. Bilan deux ans après :
Trois domaines du numériques ont été mis en avant par le ministre de l’Economie : la e-santé, le e-commerce et les transports connectés. Ces secteurs ont fait l’objet d’un appel à projets national pour des « réseaux thématiques d’excellence ».
Aujourd’hui le commerce connecté, par exemple, représente plus de 2 000 emplois dans la métropole bordelaise.
Mais peu de ces entreprises bordelaises ont encore cet export à l’international, qui est indispensable pour durer.
Quels sont les nouveaux objectifs de la French Tech pour Bordeaux ?
- Générer 10 000 emplois
- Accroître de 50% le nombre d’entreprises de taille intermédiaire et de 70% celui des Très Petites Entreprises et PME
- Susciter le développement d’entreprises championnes de rang mondial.